Journal of the Canadian Chiropractic Association

December 1998 Volume 42 No. 4

    Canadian Chiropractic Examining Board, 1954 to 1985

      Abstract

      This paper undertook to review the history of the Canadian Chiropractic Examining Board (CCEB) during the period from 1954 up to 1985. The issues of onset, purpose, and structure are outlined and an attempt to determine its effectiveness and examination validity are recounted. The contributions made by James and Lorraine Langford to the process and history are discussed and acknowledged. (JCCA 1998; 42(4):243-251)
      Key Words: chiropractic, history, Examining Board

      Le présent artice passe en revue l’histoire du Canadian Chiropractic Examining Board (CCEB), de 1954 à 1985. On y fait un survol de sa mise sur pied, de sa raison d’être, de sa structure, puis on tente de déterminer son efficacité et la validité de ses examens. La contribution de James et de Lorraine Langford au processus et à l’historique fait ensuite l’objet de discussion et de remerciements. (JCCA 1998; 42(4):243-251)
      Mots-clés: chiropratique, historique, Examining Board

      • Douglas Brown, DC

      Chiropractic complaints and disciplinary cases in Canada

      Abstract

      This paper retrospectively reviews various complaints and disciplinary cases that have appeared before chiropractic provincial regulatory boards throughout Canada, and have resulted in a significant outcome. This information was compiled by the Disciplinary Records Committee of the Canadian Federation of Chiropractic Regulatory Boards. Annually, the committee recorded the following; jurisdiction, year of disciplinary decision, nature of charge/allegation, specific mitigating factors, findings/outcome, penalties imposed, costs related to proceedings, who costs were attributed to, formal or informal proceeding(s). A total of 99 complaints are reviewed. In addition to demographic analysis of the data, a series of descriptive cases are included . This information is provided for the purpose of examining any parallels that might exist when chiropractic regulatory boards evaluate cases so they might arrive at conclusions in a fair and reasonable manner. Consistency in the application of rules and sanctions is a desirable objective of all chiropractic regulatory boards. While this paper is disseminated for informative purposes, ultimately each provincial regulatory board must exhibit good judgement with respect to case-specific issues. (JCCA 1998; 42(4):229-242)
      Key Words: chiropractic, regulation, discipline, misconduct, self-governance, legislation

      Le présent article passe en revue les plaintes et les cas d’inconduite qui ont été présentés aux organismes provinciaux de réglementation en matière de chiropratique partout au Canada et qui ont donné lieu à des décisions importantes. L’information a été recueillie par le comité des dossiers disciplinaires de la Canadian Federation of Chiropractic Regulatory Boards. Le comité enregistre chaque année les éléments suivants : le territoire où se tient la cause, l’année où est rendue la décision disciplinaire, la nature des plaintes ou des allégations, les facteurs atténuants particuliers, les faits et l’issue, les sanctions imposées, les coûts liés aux délibérations, la partie condamnée aux dépens, les délibérations officielles et non officielles. Quatre-vingt-dix-neuf plaintes au total ont été passées en revue. À l’analyse démographique des données s’ajoute une série de cas descriptifs. La présentation de ce type d’information a pour objet de relever les parallèles qui pourraient exister lorsque des organismes de réglementation en matière de chiropratique évaluent des cas pour en arriver à des conclusions valables suivant un processus juste et raisonnable. Il serait souhaitable que tous les organismes de réglementation en matière de chiropratique appliquent de façon uniforme les règlements et les sanctions. Bien que le présent article soit diffusé à titre d’information, il n’en reste pas moins que chaque organisme provincial de réglementation doit faire preuve de jugement quand vient le temps d’étudier un dossier en particulier. (JCCA 1998; 42(4):229-242)
      Mots-clés: chiropratique, réglementation, discipline, inconduite, autogestion, législation

      • Douglas Lawson, DC, MSc, PhD(c)
      • JW Nykoliation, BSc, DC, FCCS
      • E Toth, DC

      Interexaminer and intraexaminer reliability of cervical passive range of motion using the CROM and Cybex 320 EDI

      Abstract

      Objective: To compare the interexaminer and the intraexaminer reliability of measuring passive flexion and extension ranges of motion of the cervical spine, using a Cybex 320 EDI (inclinometer) and a Cervical Range of Motion (CROM) instrument. Design: Blind, repeated measures of passive cervical flexion, extension range of motion by three different examiners Setting: Private multi-disciplinary clinic. Participants: 27 volunteers, varying from asymptomatic to symptomatic conditions of the cervical spine, 14 males and 13 females, aged 10-67 years. Intervention: Measurement of passive cervical flexion, extension range of motion using the Cybex 320 EDI (single inclinometer) and the CROM by three blinded examiners, following the protocol in the respective manufacturers’ manuals. The three examiners assessed each of the 27 subjects twice on each instrument for flexion and extension. Results: The intraexaminer reliability for both the CROM and the Cybex 320 EDI were high, 95% confidence interval ICC values of .96-.99 and .85-.96 were found for the CROM and the Cybex 320 EDI instruments, respectively. The average (standard deviation) range of motion between the CROM and the Cybex 320 EDI for flexion was found to be 49.5 (15.3) and 53.9 (17.5) and extension 62.9 (22.6) and 43.6 (16.7), respectively. The interexaminer reliability analyses also showed high correlations (ICC 95% ci = .96 – .97, ICC 95% ci = .80 – .89) for the CROM and Cybex 320 EDI, respectively. Conclusion: Range of motion determination is an integral component of an individual’s assessment when the cervical spine is in question. Choosing the most appropriate instrument and matching the choice to the parameters of the individual venue, considering, i.e. cost-effectiveness for assessment, and quality makes our result findings informative and pertinent. While both instruments yielded clinically acceptable intraexaminer and interexaminer agreement, relevant to practitioners treating injured persons, the CROM was found to have a higher reliability for cervical passive range of motion when evaluating passive flexion and extension. (JCCA 1998; 42(4):222-228)
      Key Words: chiropractic, cervical, range, CROM, Cybex

      Objectif : Comparer la fiabilité des mesures, entre examinateurs et d’un même examinateur, de l’amplitude des mouvements passifs de flexion et d’extension de la colonne cervicale à l’aide d’un inclinomètre Cybex 320 EDI et d’un instrument de mesure de l’amplitude des mouvements cervicaux (CROM). Méthode : Mesure de façon anonyme et répétée de l’amplitude des mouvements passifs de flexion et d’extension de la colonne cervicale par trois examinateurs. Lieu : Clinique privée multidisciplinaire. Participants : 27 volontaires, 14 hommes et 13 femmes, âgés de 10 à 67 ans, présentant des affections symptomatiques et asymptomatiques de la colonne cervicale. Intervention : Mesure de l’amplitude des mouvements passifs de flexion et d’extension de la colonne cervicale à l’aide de l’inclinomètre simple Cybex 320 EDI et du CROM par trois examinateurs anonymes, selon le protocole décrit dans les manuels des fabricants respectifs. Les trois examinateurs ont évalué les 27 sujets à deux reprises à l’aide des deux instruments de mesure de flexion et d’extension. Résultats : Pour ce qui est d’un même examinateur, la fiabilité tant pour le Cybex 320 EDI que pour le CROM était très élevée, l’intervalle de confiance étant à 95 % e les limites, à 0,96-0,99 et à 0,85?0,96 pour le CROM et le Cybex 320 EDI respectivement. L’amplitude moyenne (écart type) des mouvements entre le CROM et le Cybex 320 EDI était de 49,5 (15,3) et de 53,9 (17,5) pour la flexion et de 62,9 (22,6) et de 43,6 (16,7) pour l’extension, respectivement. Pour ce qui est des analyses de fiabilité des mesures des examinateurs, on note également une forte corrélation entre les mesures (intervalle de confiance à 95 % et limites à 0,96 2 0,97 pour le CROM; intervalle de confiance à 95 % et limites à 0,80 – 0,89 pour le Cybex 320 EDI respectivement). Conclusion : La mesure de l’amplitude des mouvements fait partie intégrante de l’évaluation des patients qui présentent des troubles de la colonne cervicale. Le choix d’un instrument approprié et de son adéquation aux paramètres de chaque cas ainsi que l’étude de la qualité et du rapport coût-efficacité de l’évaluation confèrent aux résultats obtenus un caractère informatif et pertinent. Même si les deux instruments ont permis de rapprocher les données obtenues par différents examinateurs et un même examinateur – ce qui est important pour les praticiens qui traitent des patients ayant subi des blessures – le CROM s’est révélé plus fiable que le Cybex en ce qui concerne la mesure de l’amplitude des mouvements passifs de flexion et d’extension de la colonne cervicale. (JCCA 1998; 42(4):222-228)
      Mots-clés: chiropratique, colonne cervicale, amplitude des mouvements, CROM, Cybex

      • Paolo Cornacchia, DC
      • RH Gringmuth, DC, FCCSS(C), FCCRS(C)
      • Mohsen Kazemi, RN, DC, DAc, FCCSS(C), DACRB, FCCRS(C)
      • Stuart Love, BSc, DC
      • Michael Schmolke, DC

      Abdominal aortic aneurysms: case report

      Abstract

      A 71-year-old male presented to a chiropractic clinic with subacute low back pain. While the pain appeared to be mechanical in nature, radiographic evaluation revealed an abdominal aortic aneurysm, which required the patient to have vascular surgery. This case report illustrates the importance of the history and physical examination in addition to a thorough knowledge of the features of abdominal aortic aneurysms. The application of spinal manipulative therapy in patients with (AAA) is also discussed. (JCCA 1998; 42(4):216-221)
      Key Words: chiropractic, abdominal aneurysm

      Un homme de 71 ans, souffrant d’une lombalgie subaiguë, s’est présenté à une clinique de chiropratique. Même si la douleur semblait d’origine mécanique, le cliché radiographique a révélé un anévrisme de l’aorte abdominale, ce qui nécessitait une intervention chirurgicale vasculaire. Le présent compte rendu souligne l’importance de l’anamnèse et de l’examen physique, outre une connaissance approfondie des symptômes de l’anévrisme de l’aorte abdominale. Le traitement par manipulations vertébrales dans les cas d’anévrisme de l’aorte abdominale fait également l’objet de discussion. (JCCA 1998; 42(4):216-221)
      Mots-clés: chiropratique, anévrisme abdominal

      • Camille Hadida, DC, FCCS(C)
      • Moez Rajwani, BSc, DC

      Chiropractic management of episodic tension-type headache: a survey of clinical specialists

      Abstract
      • Cameron McDermaid, DC
      • Howard Vernon, DC, FCCS(C)